Très bonnes ventes de plats à emporter de l’amicale des sapeurs-pompiers avec 620 commandes

L’amicale des sapeurs-pompiers de Saint-Bénigne du service local d’incendie et de secours (SLIS) a proposé une vente de plats à emporter d’andouillettes, de saucisses et de gratin dauphinois en précommande ce dimanche 3 novembre.

Cette matinée a connu un franc succès avec 620 plats, soit une vente équivalente par rapport à l’année dernière.

Beaucoup de monde a été observé également à la buvette.

Le bénéfice de cette vente servira notamment à entretenir le matériel de la compagnie.

Christophe Mathis. Le Progrès de l’Ain.

La Rando

Oyonnax, Vouglans, les nouvelles balades de La Rando

 

Deux fois par an, au printemps et à l’automne, le groupe La Rando organise un court séjour découverte dans l’une des contrées voisines.

Au printemps dernier, la Franche-Comté, Ornans, Besançon avaient été leur destination. La démarche est toujours cultuelle.

Outre leurs partitions sur les sentiers de montagne, les randonneurs mettent à profit ces balades pour visiter les sites patrimoniaux des lieux qu’ils traversent.

Ornans, c’est la patrie de Gustave Courbet. Ils y ont séjourné. Besançon, le berceau de l’horlogerie… Ils en ont visité le musée et fait le tour de la ville en bateau en suivant le célèbre canal lequel passe sous la citadelle au travers d’un tunnel de près d’un km.

Cet automne La Rando a jeté son dévolu sur le Haut-Bugey dans le département du Jura.

Avec pour base un gîte à Lavans-lès-Saint-Claude, aménagé en chambres individuelles.

Le groupe se proposait de visiter quelques lieux.

Leur première étape, noyée par la pluie les a conduits au musée du peigne et de la plasturgie à Oyonnax.

Et là, Françoise Desmaris, pontévalloise de naissance, fille de l’ancien garde-champêtre devenue oyonnaxienne et, le temps de quelques mandats, maire adjointe chargée des affaires culturelles de la ville leur a fait profiter de sa formidable érudition tout au long de cette visite.

Avec elle il ont aussi découvert ‘’La Grande vapeur’’ extraordinaire monument du patrimoine local dont la ville a programmé la restauration.

Le lendemain sous un ciel plus clément ils se sont élancés sur les sentiers montant à l’assaut de la chapelle Saint-Romain, monument du XIIIème siècle qui se dresse sur un promontoire rocheux et domine la vallée de la Bienne de plus de 350 m.

Cette vallée, ils en ont fait le tour par les crêtes, soit 17 km. avant de partager une soirée d’ambiance dans le gîte.

Le troisième jour avant le départ il s’est agi de suivre le sentier qui, du haut des falaises, offre une vue superbe du lac de Vouglans. Cette balade d’une quinzaine de km a clôturé un séjour dont tous sont revenus comblés.

Depuis, La Rando a repris le cycle de ses randonnées hebdomadaires, vers le Revermont, le Beaujolais, le Clunysois, le Chalonnais, etc.

Renseignements 06.99.79.48.42.

Texte et photos : C.MATHEY, La Voix de l’Ain

 

 

 

Réouverture du restaurant Le Saint-Bénigne

Un couple de restaurateurs reprend Le Saint-Bénigne

L’enseigne que Jean-Pierre Munoz avait créée et développée durant quarante ans en un restaurant réputé dans la région va revivre.

L’heure de la retraite sonnée, le chef de cuisine, propriétaire du bâtiment n’ayant pas trouvé de repreneur pour son établissement avait maintenu son activité pendant encore quelques années dans un espoir resté vain.

Il s’était résolu à fermer définitivement.

La municipalité et sa maire Emily Unia, très conscients du fait que le rayonnement de la localité en termes d’économie et de tourisme tenait en partie à la présence du restaurant ‘’Le Saint-Bénigne’’ avait décidé, en relation avec l’établissement public foncier (EPF), du rachat du bâtiment et de l’ensemble des terrains attenants soit une surface de 10.000 m2 de classe OAP (zone d’orientation et d’aménagement urbain) se donnant ainsi une réserve foncière à bâtir supplémentaire. (notre édition du 14 juin 2024)

Seul le fonds de commerce restant à vendre, la municipalité aidée de l’ancien restaurateur espérait avoir levé un obstacle à l’arrivée d’un nouveau chef.

C’est chose faite avec l’arrivée de Virginie Valcarcel et Bruno Rochman

Bruno qui sera derrière les fourneaux est un méridional. D’abord entré en centre d’apprentissage de cuisine à Marseille, il a continué sa formation à l’école des métiers de l’hôtellerie et de la restauration Jean Drouant à Paris-Montceau, première école hôtelière française.

Il a ensuite élargi ses connaissances en travaillant dans des établissements parisiens, puis il s’est tourné vers l’armée où il rencontrera sa compagne, attachée à l’Etat-major de la Région militaire de Lyon.

Ensemble ils vont alors décider de rejoindre le midi où Bruno a ses racines. Fréjus sera leur destination. Bruno Rothman occupera des poste de cuisine dans divers établissements où il pratiquera des recettes provençales et méditerranéennes  à base de poisson. Puis deviendra chef de cuisine.

Issue d’une école commerciale, Virginie avait décidé d’un engagement militaire. Au terme de cet engagement elle s’est réorientée dans le commerce.  Elle deviendra commerciale dans le domaine alimentaire puis travaillera aux côtés de Bruno.

Remontant vers le nord, ils seront les gérants d’un établissement à Meaux la Montagne (près du lac des Sapins). Ils choisiront d’être les propriétaires de leur fonds de commerce.

« Quand on est venu pour visiter on s’est très bien entendu avec Jean-Pierre Munoz. On a échangé sur beaucoup de choses. Jean-Pierre nous a conseillé et comme je suis preneur de tout ce qui me permet d’apprendre plus, j’en ai fait mon profit. Dans ce métier il faut de l’humilité car on a toujours à apprendre des autres. Nous resterons en contact car il aura encore à m’apprendre »

Parents de deux Filles de 20 et 24 ans, Anaïs et Sonia, le couple compte sur l’aide de ses enfants pour lancer leur affaire.

« Nous gardons l’enseigne ‘’Le Saint-Bénigne’’ qui avait une certaine notoriété. Nous reprenons toute la carte de Jean-Pierre, à laquelle les gens d’ici sont habitués, mais j’ajouterai un peu de mes spécialités provençales ».

Pour Virginie, leur installation à Saint-Bénigne, c’est comme un retour à ses origines. Son arrière-grand’mère Granjean a habité la Ferme de la Forêt à Courtes avant qu’elle ne devienne un musée. Et son grand-père Burtin de Saint-Trivier, y a joué enfant.

Le destin…

Le Saint-Bénigne est ouvert à midi les mardi, mercredi, jeudi. Puis Midi et soit les vendredi et samedi et uniquement à midi le dimanche.

Tél. 03.85.30.96.48

Texte et photos : C. MATHEY La Voix de l’AIN

 

Opération nettoyage de la commune

 

Pour notre environnement et pour notre cadre de vie, la commune vous propose une nouvelle action de ramassage des déchets abandonnés dans la nature.

 Rendez-vous le samedi 19 Octobre à 9h sur le parking de la Mairie.

👍 Une bonne occasion de s’investir pour le bien commun.

A l’issue de l’opération, nous partagerons un moment de convivialité.

3 sur 20

Convention de partenariat-Don du sang-Saint-Bénigne

Mardi 24 septembre au soir à la salle multifonction, devant une quinzaine de personnes, une convention de partenariat a été signée pour l’apposition d’autocollants sur les véhicules communaux et professionnels, ainsi que la mise en place de panneaux annonçant les collectes.
 
« Inciter les personnes à donner leur sang »
Emily Unia, maire de la commune, Béatrice Bodenan, présidente de l’Amicale des donneurs de sang de Pont-de-Vaux et Michel Tirand, président de l’Union départementale des donneurs de sang ont ainsi pu sceller de nouveau ce pacte. « Cette convention a été re-signée en 2018 avec l’association des maires de l’Ain et nous sillonnons les villages de Rhône-Alpes pour essayer de faire passer le message à plus de personnes encore », précise Michel Tirand.
 
Sur cet autocollant est mentionné « Je donne mon sang, et vous ? ». L’objectif est simple : « faire prendre conscience et inciter les personnes à donner le leur, car toute l’année, les banques de sang en ont besoin », argue Béatrice Bodenan.
 
Lors de la dernière collecte de sang à Pont-de-Vaux, seulement 82 personnes étaient présentes, dont un jeune de 18 ans qui a pris exemple sur sa mère, donneuse depuis des années.
 
De notre correspondant Christophe Mathis 
 
Légende photo :
L’entreprise Jcb, Michel Tirand, Emily Unia et Béatrice Bodenan étaient présents pour signer la convention . Photo et texte Christophe Mathis CLP Le Progrès

Les 20 ans de Proximi’caa

L’association Proximi’caa (proximité citoyenneté accompagnement et approvisionnement), qui compte 120 adhérents, a fêté ses 20 ans ce samedi 21 septembre à la salle multifonction.
 
La présidente, Françoise Debost, a pris la parole : « Céline Micard a créé l’association il y a deux décennies et nous sommes toujours là. En plus des services, nous proposons surtout du lien social et du contact. Avec les cotisations (5 € par an), les bénéficiaires peuvent être pris en charge pour des transports qu’ils n’ont pas la possibilité de faire seuls. Se rendre à un rendez-vous médical, au marché, chez le coiffeur ou simplement rendre visite à ses roches, ce sont les services proposés par l’association. Merci à tous pour votre fidélité et à Emily Unia (maire de la commune) pour son soutien et le prêt de la salle. »
 
La troupe locale Bresse Impro a animé l’événement.
 
 
Légende photo :
Francoise Debost, présidente, Madeleine Florian, la 1 er adhérente et Céline Micard la fondatrice.  Photo et texte Christophe Mathis CLP Le Progrès

Saint-Béaal affluence aux inscriptions

Saint-Béaal , affluence aux inscriptions

 

L’association qui comptait 220 adhérents en juin dernier a retrouvé son niveau d’antan.

Avec 184 inscrits en une seule matinée de portes ouvertes et des adhésions qui ont continué à affluer depuis une semaine. Enregistrant très peu de départs mais de nombreux nouveaux inscrits, l’équipe que préside Arlette Denis remplit toutes les cases correspondant à ses 12 sections d’activités qui vont du jeu de cartes au Yoga en passant par la marche, la cuisine, la danse, la gym, les boules, etc, se déroulant sur un rythme hebdomadaire, mensuel ou bimensuel.

Le nouveau bureau à d’ores et déjà publié un calendrier de manifestations qui viendront agrémenter la saison à venir hors les rendez-vous habituels.

Le premier de ces rendez-vous, le repas après la percée du beaujolais nouveau aura lieu le samedi  23 novembre dans la salle multifonction.

Viendront ensuite, en 2025, le traditionnel vin chaud de la marche, le mardi  7 janvier puis le spectacle de variété le 27 avril. Suivront un troc-plantes le 15 mai, un concours de pétanque, le 21 mai, un voyage dont la destination reste à définir le 13 juin, le pique-nique des 3 sections de marche le 17 juin…

Et puis un plat à emporter le 21 juin. Le traditionnel apéro de fin d’année sous la galerie de la salle des fêtes clôturera la saison le 26 juin.

Les inscriptions sont toujours possibles. Renseignements auprès de Arlette la présidente  : 03.85.30.65.81

Article de Ch. Mathey, La Voix de l’Ain

 

Le jardin du souvenir rénové

La commune avait à cœur de rénover le jardin des souvenirs et a donc fait réaliser des travaux, par la société Carrara à Ozan (01190), au cimetière avec l’installation d’un puits de dispersions (montant 1070 euros).

Et à cette occasion des barrettes avec les noms de toutes les personnes dont les cendres ont été dispersées ont été rajoutées (montant 1933 euros)

“Je pense qu’il est essentiel que nous proposions un lieu de dispersion des cendres des défunts qui soit adapté et aux normes et qui permette aux familles de se recueillir dignement.” précise Emily Unia la maire de la commune.

 

Christophe Mathis, Le Progrès de l’Ain.

 

Le RCHB en deuil.

Pierre JOLY coprésident du club nous a subitement quitté dans la nuit du 5 au 6 septembre, alors qu’il allait fêter ses 68 ans dans quelques jours.

 

Pierre ou plutôt « PIERROT » est arrivé au rugby club haute bresse (RCHB) il y a une dizaine d’année en provenance de l’AS MACON où il était dirigeant chez les jeunes.

 

Très vite il pris en main la commission partenariat. Il suivait aussi le groupe séniors et était en relation avec les instances sportive. Il était élu au comité de l’Ain de Rugby.

 

Très actif au sein du RCHB, il prit la coprésidence il y a 3 ans avec Jérôme Picard et Christophe Vaucher. Mandat qu’il pensait renouveler.

 

Apprécié et respecté de tous par son charisme, sa bonne humeur communicative, son franc parlé, son humilité, ses compétences et son dévouement.

 

Il aimait beaucoup écrire les discours ou les courriers pour les instances, en trouvant toujours les bons mots et surtout sans langue de bois !!

 

Le club et le rugby régional perd un grand serviteur du Rugby.

 

Le RCHB pleure un ami, Pierrot laissera un grand vide mais aussi une trace indélébile de son passage et beaucoup de souvenir. Ses longues discussions au coin du bar avec un supporter, un bénévole, un dirigeant, un partenaire ou encore un joueur, manquent déjà.

 

Le RCHB a une grosse pensée pour sa femme Marité et ses trois enfants, ainsi que toute sa famille.

 

Courage dans ce moment difficile, la grande famille du Rugby pense à lui !!!

 

Ses obsèques ont eu lieu vendredi 13 septembre à l’espace funéraire Rollet à Sancé.

 

Christophe Mathis, Le Progrès de l’Ain.

 

Un équipage avec un quad bio termine les 72 heures de Pont de Vaux.

Un équipage avec un quad bio termine les 72 heures de Pont de Vaux.

 

Nous l’avons fait

 

C’était une révolution annoncée sur la ligne de départ des 72 heures de Pont-de-Vaux lors de la 37e édition qui s’est déroulée du 22 au 25 août 2024.

 

Pour la première fois dans l’histoire de la compétition, du bio carburant à été utilisé par les coureurs (Ruben Arcis, Quentin Nuguet, et Florian Desplanches) , produit à base de déchets viticoles français. Il s’agit de l’équipe PR Racing quad avec un Yamaha YFZR 450cm3 avec le numéro 93 situé à Saint Bénigne.

 

Philippe Arcis, patron de l’équipe, êtes vous satisfait de votre week-end ?

 

” Oui plus que satisfait même, notre but était de finir la course, car on savait très bien que l’on était attendu au tournant, et on fini 68 ème sur 95 engagés. Et surtout que l’année dernière ont été en contest (l’anti chambre du mondial).

La clôture du budget et et les finitions de la machine n’ont pas été simples mais on l’a fait.

Après la visite de France 3 Lyon, qui s’est déplacée spécialement pour nous, on espère avoir ouvert des portes pour les années à venir avec le bio carburant, car actuellement il coûte cher (9 euros le litre) et plus il y aura de coureurs bio plus le prix descendra “.

 

Avez vous eu des soucis mécaniques pendant les manches ?

 

Oui 3 majeurs : un câble d’embrayage qui a lâché mais heureusement notre pilote a pu ramener le quad au parc fermé, une pierre nous casse l’arrêt d’urgence et une panne électrique. Mais après analyse, comme quoi on apprend de nos erreurs, ces 3 soucis auraient pu être évités en réfléchissant mieux à la conception de la machine : une poignée mieux adaptée pour le câble, un protège commando pour le deuxième et des câbles un peu plus long pour les faisceaux électriques. Après il y a eu l’annulation de la marche de nuit pour cause de gros orages et vents “.

 

Et l’année prochaine vous faites quoi ?

 

” Bien évidemment on remet ça, en espérant avec d’autres sponsors supplémentaires et avec une organisation différente et une préparation su quad plus poussée, mais pour cette année je tiens à remercier toute mon équipe (10 personnes en tout), les 3 pilotes qui ont fait un gros travail, ils ont su ménager leur monture, mais notamment ma femme qui sert de comptable, d’intendante etc. Et surtout pour ses sacrifices au sein du couple. Et bien sûr mes sponsors et aussi les bénévoles de l’organisation qui ont fait un travail formidable “.

 

Christophe Mathis, Le Progrès de l’Ain