Les 20 ans de Proximi’caa
Saint-Béaal affluence aux inscriptions
Saint-Béaal , affluence aux inscriptions
L’association qui comptait 220 adhérents en juin dernier a retrouvé son niveau d’antan.
Avec 184 inscrits en une seule matinée de portes ouvertes et des adhésions qui ont continué à affluer depuis une semaine. Enregistrant très peu de départs mais de nombreux nouveaux inscrits, l’équipe que préside Arlette Denis remplit toutes les cases correspondant à ses 12 sections d’activités qui vont du jeu de cartes au Yoga en passant par la marche, la cuisine, la danse, la gym, les boules, etc, se déroulant sur un rythme hebdomadaire, mensuel ou bimensuel.
Le nouveau bureau à d’ores et déjà publié un calendrier de manifestations qui viendront agrémenter la saison à venir hors les rendez-vous habituels.
Le premier de ces rendez-vous, le repas après la percée du beaujolais nouveau aura lieu le samedi 23 novembre dans la salle multifonction.
Viendront ensuite, en 2025, le traditionnel vin chaud de la marche, le mardi 7 janvier puis le spectacle de variété le 27 avril. Suivront un troc-plantes le 15 mai, un concours de pétanque, le 21 mai, un voyage dont la destination reste à définir le 13 juin, le pique-nique des 3 sections de marche le 17 juin…
Et puis un plat à emporter le 21 juin. Le traditionnel apéro de fin d’année sous la galerie de la salle des fêtes clôturera la saison le 26 juin.
Les inscriptions sont toujours possibles. Renseignements auprès de Arlette la présidente : 03.85.30.65.81
Article de Ch. Mathey, La Voix de l’Ain
Le jardin du souvenir rénové
La commune avait à cœur de rénover le jardin des souvenirs et a donc fait réaliser des travaux, par la société Carrara à Ozan (01190), au cimetière avec l’installation d’un puits de dispersions (montant 1070 euros).
Et à cette occasion des barrettes avec les noms de toutes les personnes dont les cendres ont été dispersées ont été rajoutées (montant 1933 euros)
“Je pense qu’il est essentiel que nous proposions un lieu de dispersion des cendres des défunts qui soit adapté et aux normes et qui permette aux familles de se recueillir dignement.” précise Emily Unia la maire de la commune.
Christophe Mathis, Le Progrès de l’Ain.
Le RCHB en deuil.
Pierre JOLY coprésident du club nous a subitement quitté dans la nuit du 5 au 6 septembre, alors qu’il allait fêter ses 68 ans dans quelques jours.
Pierre ou plutôt « PIERROT » est arrivé au rugby club haute bresse (RCHB) il y a une dizaine d’année en provenance de l’AS MACON où il était dirigeant chez les jeunes.
Très vite il pris en main la commission partenariat. Il suivait aussi le groupe séniors et était en relation avec les instances sportive. Il était élu au comité de l’Ain de Rugby.
Très actif au sein du RCHB, il prit la coprésidence il y a 3 ans avec Jérôme Picard et Christophe Vaucher. Mandat qu’il pensait renouveler.
Apprécié et respecté de tous par son charisme, sa bonne humeur communicative, son franc parlé, son humilité, ses compétences et son dévouement.
Il aimait beaucoup écrire les discours ou les courriers pour les instances, en trouvant toujours les bons mots et surtout sans langue de bois !!
Le club et le rugby régional perd un grand serviteur du Rugby.
Le RCHB pleure un ami, Pierrot laissera un grand vide mais aussi une trace indélébile de son passage et beaucoup de souvenir. Ses longues discussions au coin du bar avec un supporter, un bénévole, un dirigeant, un partenaire ou encore un joueur, manquent déjà.
Le RCHB a une grosse pensée pour sa femme Marité et ses trois enfants, ainsi que toute sa famille.
Courage dans ce moment difficile, la grande famille du Rugby pense à lui !!!
Ses obsèques ont eu lieu vendredi 13 septembre à l’espace funéraire Rollet à Sancé.
Christophe Mathis, Le Progrès de l’Ain.
Un équipage avec un quad bio termine les 72 heures de Pont de Vaux.
Un équipage avec un quad bio termine les 72 heures de Pont de Vaux.
Nous l’avons fait
C’était une révolution annoncée sur la ligne de départ des 72 heures de Pont-de-Vaux lors de la 37e édition qui s’est déroulée du 22 au 25 août 2024.
Pour la première fois dans l’histoire de la compétition, du bio carburant à été utilisé par les coureurs (Ruben Arcis, Quentin Nuguet, et Florian Desplanches) , produit à base de déchets viticoles français. Il s’agit de l’équipe PR Racing quad avec un Yamaha YFZR 450cm3 avec le numéro 93 situé à Saint Bénigne.
Philippe Arcis, patron de l’équipe, êtes vous satisfait de votre week-end ?
” Oui plus que satisfait même, notre but était de finir la course, car on savait très bien que l’on était attendu au tournant, et on fini 68 ème sur 95 engagés. Et surtout que l’année dernière ont été en contest (l’anti chambre du mondial).
La clôture du budget et et les finitions de la machine n’ont pas été simples mais on l’a fait.
Après la visite de France 3 Lyon, qui s’est déplacée spécialement pour nous, on espère avoir ouvert des portes pour les années à venir avec le bio carburant, car actuellement il coûte cher (9 euros le litre) et plus il y aura de coureurs bio plus le prix descendra “.
Avez vous eu des soucis mécaniques pendant les manches ?
Oui 3 majeurs : un câble d’embrayage qui a lâché mais heureusement notre pilote a pu ramener le quad au parc fermé, une pierre nous casse l’arrêt d’urgence et une panne électrique. Mais après analyse, comme quoi on apprend de nos erreurs, ces 3 soucis auraient pu être évités en réfléchissant mieux à la conception de la machine : une poignée mieux adaptée pour le câble, un protège commando pour le deuxième et des câbles un peu plus long pour les faisceaux électriques. Après il y a eu l’annulation de la marche de nuit pour cause de gros orages et vents “.
Et l’année prochaine vous faites quoi ?
” Bien évidemment on remet ça, en espérant avec d’autres sponsors supplémentaires et avec une organisation différente et une préparation su quad plus poussée, mais pour cette année je tiens à remercier toute mon équipe (10 personnes en tout), les 3 pilotes qui ont fait un gros travail, ils ont su ménager leur monture, mais notamment ma femme qui sert de comptable, d’intendante etc. Et surtout pour ses sacrifices au sein du couple. Et bien sûr mes sponsors et aussi les bénévoles de l’organisation qui ont fait un travail formidable “.
Christophe Mathis, Le Progrès de l’Ain
Rentrée scolaire
132 élèves l’effectif ne remonte pas
Après avoir compté près de 150 élèves lors des rentrées 2021/2022 l’école communale a vu son effectif fondre l’année suivante et se stabiliser à 132 élèves cette année pour 6 classes.
L’équipe pédagogique de sept professeurs des écoles et de deux Atsem est inchangée à l’exception de Mme Chantin qui venait en complément de Mme Benoit.
Ce complément est désormais assuré par Mme Chevauchet qui, l’an passé, suppléait déjà Mme Chalaye pour sa décharge de directrice d‘école. Elle assurera ces deux postes cette année.
Fait marquant cette année, du fait du renoncement des parents d’élèves, la gestion de la cantine est désormais municipale.
Durant l’intersaison la municipalité a été amenée à créer un poste d’agent de restauration à temps partiel pour 19 h 45 par semaine et a procédé à l’embauche d’un nouvel agent
Ce poste est occupé par Mme Murielle Meunier. La commune a retenu la société RPC de Manziat pour la confection des repas. Mme Meunier ayant en charge la réception, le réchauffement des plats et la répartition ainsi que le ménage.
Le coût du repas passe de 4,40€ sous gestion associative à 5,60€ en gestion municipale. Une centaine d’enfants sont accueillis chaque jour de classe par la cantine scolaire. La surveillance est toujours assurée par les Atsem et agents communaux.
L’accueil périscolaire ”Les P’tits Loups” entré dans le giron du centre 1, 2, 3 Soleil a également repris du service. En plus de ce service périscolaire, l’association propose par le biais de son centre de loisirs l’accueil des enfants le mercredi.
Article de Charles Mathey, La Voix de l’AIN
L’île de la Motte, un paysage bouleversé
L’ile de la Motte, un paysage bouleversé
l’île de la Motte s’est formée de la fin du 19ème siècle jusqu’à nos jours par le dépôt de sédiments occasionné à la suite de la construction de murs submergés édifiés vers 1830/1850 lorsqu’il s’est agit, sous Napoléon III, d’aménager la rivière en un fleuve apte à porter la navigation marchande.
Auparavant la Saône, nonchalante en été, se laissant traverser à pied sur ses hauts fonds s’érigeait en furie dévastant tout sur son passage lors de ses grandes crues d’hiver et de printemps. Dans les siècles précédents alors que la vie s’était organisée près de la rivière avec des cités semi-lacustres, ses crues ont provoqué, notamment au XVème siècle, des milliers de morts.
Ces murs, destinés à canaliser-la rivière, élevés à un vingtaine de mètres du bord ont eu pour effet de ralentir le courant près des rivages favorisant ainsi ces dépôts de sédiments. Des îlots se sont formés qui s’agglomérant au fil des ans ont composé cette grande île au large de la prairie des Longerons.
Des digues avaient également été élevées sur les rives par les hommes afin de contenir ses hautes crues devenues bien moins violentes depuis le creusement du chenal au XIXème siècle et de protéger les champs.
Gilbert 93 ans, ainsi que ses sœurs, presque centenaires, ont toujours connu cette île, certes moins grande au début du dernier siècle lorsqu’elle était encore formée de gros îlots et surtout bien moins large.
l’île des Longerons qui appartient au patrimoine de la commune, ainsi nommée par les riverains qui exploitaient la prairie des Longerons au large de laquelle elle s’est formée, offrait un aspect complètement différent.
Gilbert qui, dans l’enfance, gardait les troupeaux dans la prairie se souvient d’une plage qui descendait en pente douce depuis la digue de terre formée sur la rive. et d’une lône aux eaux claires dans laquelle tout un chacun aimaient se baigner. Des ”citadins” pontévallois venaient y pique-niquer le dimanche, à l’instar des parents de Charles, un ami de Gilbert, qui garde le même souvenir.
Revenu sur la rive après quelques années d’absence Gilbert n’a pas reconnu son île des Longerons. ”Mais d’où vient ce nom d’île de la Motte ?”
De plage en pente douce il n’y a plus. Le site a perdu son aspect bucolique. Des ”falaises” dominent la lône contres lesquelles les lames d’eau provoquées par les gros transports remontant la rivière viennent percuter.
Durant la visite Gilbert a admiré le passage deux bateaux long d’une centaine de mètres sur le canal de navigation et vu l’effet des vagues poussant une énorme masse limoneuse dans la lône.
L’île protégée par une directive Natura 2000 abrite nombre d’espèce d’oiseaux migrateurs et des castors. Elle est là, toujours grande et belle. Mais son environnement, côté berge, ne l’est plus.
Article de Charles Mathey, La Voix de l’AIN
Journées du Patrimoine 2024
Journées du patrimoine 2024.
Itinéraire autour de l’église de Saint-Bénigne
Les 21 et 22 septembre
Ouverture de l’église
de 10h à 12h et de 14h à 18h.
Bien vouloir ouvrir le lien ci-dessous
Théâtre à Saint-Bénigne
Comme les années précédentes, la commune tient à proposer une offre culturelle accessible sur notre territoire. Cette année, elle propose un nouveau spectacle gratuit pour les habitants de la commune : L’Effet Barnum, proposée par la Compagnie Pièces et Main d’œuvre.
Une pièce drôle et surprenante , à partir de 12 ans.
Entrée gratuite dans la limite des places disponibles.
Le samedi 28/09 à 20H30. Ouverture des portes à 20H00.