Le sou des écoles risque de disparaître définitivement

Déjà l’année dernière, les deux présidentes du Sou des écoles, Laure Morel et Olivia Sarrazin, voulaient passer le relais. Mais elles ont décidé de continuer, par manque de parents pour reprendre le flambeau.

 

Lors de l’assemblée générale de ce début d’année, ces dernières ont à nouveau tiré la sonnette d’alarme car les choses n’ont pas évolué. Il y a toujours un manque cruel d’implications des parents d’élèves, et pas assez de monde pour les manifestations. Les deux présidentes ont même dû annuler une vente de plats à emporter dernièrement, car il y avait seulement soixante réservations (contre 140 en 2023). « C’est aux parents de se mobiliser et de vouloir offrir aux enfants des sorties, des spectacles et diverses ventes de plats à emporter tout au long de l’année. Cette situation nous afflige », ont commenté les deux présidentes.

 

La mobilisation ou la dissolution

C’est pour cela qu’elles recherchent des personnes pour leur succéder, mais quoi qu’il en soit, elles arrêteront l’activité en fin d’année scolaire.

 

Deux possibilités s’offrent aux parents : l’accueil de nouveaux bénévoles, président, trésorier, secrétaire, membres actifs ou la dissolution complète de l’association.

 

Émily Unia, la maire de la commune, a précisé qu’elle ne reprendra pas la suite, comme elle l’a fait pour la cantine, en début d’année scolaire, en gérant l’intégralité du fonctionnement.

 

Christophe MATHIS, Le Progrès de l’Ain

 

Un chèque de 1000€ remis à l’école de rugby

Samedi 23 novembre, les rugbymen en herbe de l’école du Rugby Club Haute Bresse (RCHB) ont reçu des visiteurs inhabituels.

 

Des U6 à U 12, pas moins de 70 filles et garçons étaient venus s’entraîner même par un temps glacial sur le terrain synthétique de Saint-Bénigne.

Tout de suite après, le Crédit agricole de Pont-de-Vaux a offert un chèque de 1 000 euros au club pour leur implication dans la cohésion sociale, dans l’aide aux jeunes en situation de handicap et pour leurs interventions dans des structures pour adultes en situation de handicap de Courtes, Ceyzériat et Tournus.

 

Ce même jour, les sponsors ont remis des maillots (Darbon mécanique générale d’Arbigny, Comay construction métallique de Viriat, Bayardon électricité de Viré, Champanay vin à Burgy) pour la nouvelle saison.

 

Christophe MATHIS, Le Progrès de l’Ain.

 

Décorations de Noël

Samedi 30 novembre dernier, quelques élus et volontaires se sont donnés rdv le matin, devant la Mairie, pour installer guirlandes et décorations de Noel .
Une douzaine d’adultes et quelques enfants désireux d’orner et embellir le parvis de la salle multifonctions, la  cour de la mairie et des écoles…Ils ont aussi installé les panneaux  de bois joliment décorés, crées par les enfants de la garderie périscolaire 1,2, 3 Soleil depuis quelques semaines, après le temps scolaire.

Ces efforts, accomplis dans la bonne humeur,  pour rendre le village plus beau pour les fêtes de fin d’année servent ainsi au bien vivre ensemble et à apporter à chacun un petit peu de bonheur.

Des pompiers honorés lors des commémorations du 11-Novembre

Au cours de la cérémonie, samedi 11 novembre, devant le monument aux morts puis au cimetière du village, les hommages ont été rendus tant aux morts pour la France qu’à tous ceux qui par leur engagement, œuvrent à préserver la liberté et la nation par Émily Unia, maire de la commune, et Daniel Riaza, président des anciens combattants.

 

Les enfants ont été associés à cette cérémonie avec des dépôts de fleurs et des lectures afin que perdure le devoir de mémoire.

 

Émily Unia a aussi remis des médailles aux récipiendaires :

 

Une médaille d’honneur échelon bronze pour 10 ans de service au sapeur première classe Jean-Paul de Sousa ainsi qu’un diplôme pour son module de “secouriste en équipe” qu’a obtenu le sapeur première classe Romain Journaux et pour finir cette cérémonie une remise de grade au rang d’adjudant au sergent-chef Denis Perdrix remit par le capitaine Christian Perdrix.

 

Christophe Matisse, Le Progrès de l’Ain

 

 

Matinée nettoyage de la commune

Matinée nettoyage pour la commune
 
 
Samedi 19 octobre la municipalité a organisé une matinée nettoyage des abords de la commune et notamment des bords de routes.
Dès 9 heures, 25 personnes étaient au rendez-vous de cette opération propreté et près de 80 kilos (contre 100 au printemps) de déchets divers ont été ramassés (mégots, panneaux publicitaires, canettes… ) par les participants qui ont arpenté, sous un soleil radieux, les différentes artères de la localité.
Philippe Vilard, chargé de l’environnement, a constaté des lieux plus propres que d’habitude. Est ce le fort vent qu’il y a eu récemment ou une prise de conscience ? 
Article et photo de C. Mathis -CLP Le Progrès

Très bonnes ventes de plats à emporter de l’amicale des sapeurs-pompiers avec 620 commandes

L’amicale des sapeurs-pompiers de Saint-Bénigne du service local d’incendie et de secours (SLIS) a proposé une vente de plats à emporter d’andouillettes, de saucisses et de gratin dauphinois en précommande ce dimanche 3 novembre.

Cette matinée a connu un franc succès avec 620 plats, soit une vente équivalente par rapport à l’année dernière.

Beaucoup de monde a été observé également à la buvette.

Le bénéfice de cette vente servira notamment à entretenir le matériel de la compagnie.

Christophe Mathis. Le Progrès de l’Ain.

La Rando

Oyonnax, Vouglans, les nouvelles balades de La Rando

 

Deux fois par an, au printemps et à l’automne, le groupe La Rando organise un court séjour découverte dans l’une des contrées voisines.

Au printemps dernier, la Franche-Comté, Ornans, Besançon avaient été leur destination. La démarche est toujours cultuelle.

Outre leurs partitions sur les sentiers de montagne, les randonneurs mettent à profit ces balades pour visiter les sites patrimoniaux des lieux qu’ils traversent.

Ornans, c’est la patrie de Gustave Courbet. Ils y ont séjourné. Besançon, le berceau de l’horlogerie… Ils en ont visité le musée et fait le tour de la ville en bateau en suivant le célèbre canal lequel passe sous la citadelle au travers d’un tunnel de près d’un km.

Cet automne La Rando a jeté son dévolu sur le Haut-Bugey dans le département du Jura.

Avec pour base un gîte à Lavans-lès-Saint-Claude, aménagé en chambres individuelles.

Le groupe se proposait de visiter quelques lieux.

Leur première étape, noyée par la pluie les a conduits au musée du peigne et de la plasturgie à Oyonnax.

Et là, Françoise Desmaris, pontévalloise de naissance, fille de l’ancien garde-champêtre devenue oyonnaxienne et, le temps de quelques mandats, maire adjointe chargée des affaires culturelles de la ville leur a fait profiter de sa formidable érudition tout au long de cette visite.

Avec elle il ont aussi découvert ‘’La Grande vapeur’’ extraordinaire monument du patrimoine local dont la ville a programmé la restauration.

Le lendemain sous un ciel plus clément ils se sont élancés sur les sentiers montant à l’assaut de la chapelle Saint-Romain, monument du XIIIème siècle qui se dresse sur un promontoire rocheux et domine la vallée de la Bienne de plus de 350 m.

Cette vallée, ils en ont fait le tour par les crêtes, soit 17 km. avant de partager une soirée d’ambiance dans le gîte.

Le troisième jour avant le départ il s’est agi de suivre le sentier qui, du haut des falaises, offre une vue superbe du lac de Vouglans. Cette balade d’une quinzaine de km a clôturé un séjour dont tous sont revenus comblés.

Depuis, La Rando a repris le cycle de ses randonnées hebdomadaires, vers le Revermont, le Beaujolais, le Clunysois, le Chalonnais, etc.

Renseignements 06.99.79.48.42.

Texte et photos : C.MATHEY, La Voix de l’Ain

 

 

 

Réouverture du restaurant Le Saint-Bénigne

Un couple de restaurateurs reprend Le Saint-Bénigne

L’enseigne que Jean-Pierre Munoz avait créée et développée durant quarante ans en un restaurant réputé dans la région va revivre.

L’heure de la retraite sonnée, le chef de cuisine, propriétaire du bâtiment n’ayant pas trouvé de repreneur pour son établissement avait maintenu son activité pendant encore quelques années dans un espoir resté vain.

Il s’était résolu à fermer définitivement.

La municipalité et sa maire Emily Unia, très conscients du fait que le rayonnement de la localité en termes d’économie et de tourisme tenait en partie à la présence du restaurant ‘’Le Saint-Bénigne’’ avait décidé, en relation avec l’établissement public foncier (EPF), du rachat du bâtiment et de l’ensemble des terrains attenants soit une surface de 10.000 m2 de classe OAP (zone d’orientation et d’aménagement urbain) se donnant ainsi une réserve foncière à bâtir supplémentaire. (notre édition du 14 juin 2024)

Seul le fonds de commerce restant à vendre, la municipalité aidée de l’ancien restaurateur espérait avoir levé un obstacle à l’arrivée d’un nouveau chef.

C’est chose faite avec l’arrivée de Virginie Valcarcel et Bruno Rochman

Bruno qui sera derrière les fourneaux est un méridional. D’abord entré en centre d’apprentissage de cuisine à Marseille, il a continué sa formation à l’école des métiers de l’hôtellerie et de la restauration Jean Drouant à Paris-Montceau, première école hôtelière française.

Il a ensuite élargi ses connaissances en travaillant dans des établissements parisiens, puis il s’est tourné vers l’armée où il rencontrera sa compagne, attachée à l’Etat-major de la Région militaire de Lyon.

Ensemble ils vont alors décider de rejoindre le midi où Bruno a ses racines. Fréjus sera leur destination. Bruno Rothman occupera des poste de cuisine dans divers établissements où il pratiquera des recettes provençales et méditerranéennes  à base de poisson. Puis deviendra chef de cuisine.

Issue d’une école commerciale, Virginie avait décidé d’un engagement militaire. Au terme de cet engagement elle s’est réorientée dans le commerce.  Elle deviendra commerciale dans le domaine alimentaire puis travaillera aux côtés de Bruno.

Remontant vers le nord, ils seront les gérants d’un établissement à Meaux la Montagne (près du lac des Sapins). Ils choisiront d’être les propriétaires de leur fonds de commerce.

« Quand on est venu pour visiter on s’est très bien entendu avec Jean-Pierre Munoz. On a échangé sur beaucoup de choses. Jean-Pierre nous a conseillé et comme je suis preneur de tout ce qui me permet d’apprendre plus, j’en ai fait mon profit. Dans ce métier il faut de l’humilité car on a toujours à apprendre des autres. Nous resterons en contact car il aura encore à m’apprendre »

Parents de deux Filles de 20 et 24 ans, Anaïs et Sonia, le couple compte sur l’aide de ses enfants pour lancer leur affaire.

« Nous gardons l’enseigne ‘’Le Saint-Bénigne’’ qui avait une certaine notoriété. Nous reprenons toute la carte de Jean-Pierre, à laquelle les gens d’ici sont habitués, mais j’ajouterai un peu de mes spécialités provençales ».

Pour Virginie, leur installation à Saint-Bénigne, c’est comme un retour à ses origines. Son arrière-grand’mère Granjean a habité la Ferme de la Forêt à Courtes avant qu’elle ne devienne un musée. Et son grand-père Burtin de Saint-Trivier, y a joué enfant.

Le destin…

Le Saint-Bénigne est ouvert à midi les mardi, mercredi, jeudi. Puis Midi et soit les vendredi et samedi et uniquement à midi le dimanche.

Tél. 03.85.30.96.48

Texte et photos : C. MATHEY La Voix de l’AIN

 

Opération nettoyage de la commune

 

Pour notre environnement et pour notre cadre de vie, la commune vous propose une nouvelle action de ramassage des déchets abandonnés dans la nature.

 Rendez-vous le samedi 19 Octobre à 9h sur le parking de la Mairie.

👍 Une bonne occasion de s’investir pour le bien commun.

A l’issue de l’opération, nous partagerons un moment de convivialité.

3 sur 20