Le projet :
Proposer, développer, encadrer et coordonner les temps périscolaires des enfants pour une meilleure réussite éducative, tel était le sujet de la réunion qui s’est tenue lundi soir dans les locaux de la mairie.
Priscillia Mootooveeren et Edith Estrade animatrices et coordinatrice à Familles rurales de l’Ain ont détaillé les étapes de construction du projet.
Les temps périscolaires comportent la période d’accueil le matin avant la classe, la période méridienne, de la fin de la matinée au retour en classe l’après-midi, la période d’accueil le soir après la classe.
C’est durant ces horaires que pourront intervenir les différents acteurs du projet. Leur diversité multipliant les possibilité pour les enfants de s’épanouir en acquérant différents savoirs, savoir-faire et savoir-être.
Les responsables locaux à l’écoute
La présence dans la salle des représentants et dirigeants du club de rugby de Haute Bresse, de l’association sport-loisirs-culture (SLC), des bibliothèques, du musée Chintreuil, des enseignants et responsables d’établissements scolaires, des élus locaux a montré l’intérêt partagé pour les informations diffusées.
Dans un premier temps, si le projet se dessine, il s’agira pour les associations, les parents et les personnes souhaitant s’impliquer, de recenser les moyens existants et les activités déjà en place, d’évaluer les besoins et se réunir autour d’une même question: que veut-on pour les enfants du territoire?
Un accompagnement technique et financier
Le diagnostic qui sera posé définira les axes de travail et leur valorisation.
Familles rurales de l’Ain promet un accompagnement pas à pas depuis la distribution d’un questionnaire, dès les jours prochains, jusqu’aux premiers tests de faisabilité en 2022.
Un calendrier qui semble court pour les responsables présents qui, bien que volontaires et dévoués, entrevoient un travail conséquent à organiser.
Le projet éducatif territorial devait déboucher sur des aides financières en compensation des moyens à déployer notamment pour la construction ou la réhabilitation de locaux.
Guy Sautarel Progrès de l’Ain